On mange bien à Vancouver.
Près de l'hôtel, un tout petit resto thaï. Sur sept soupers, trois curry. Avec juste assez de lime et de sweet basil. Il y avait aussi un petit spot à déjeuners d'un cook de Calgary venu à Vancouver pour suivre son patron. Conversation sympa, bon café et assiettes de pancakes gratuites pour les enfants. 20$ de déjeuner pour nous quatre alors que les déjeuners d'hôtel se détaillaient 18$/personne. On a également eu droit au traditionnel steakhouse. Ben quoi, on est dans l'Ouest où on ne l'est pas! Côtes levées. Mais déçue. Beaucoup trop de viande. Trop cher aussi. Mais on s'est rattrapés la seule journée où il a fait soleil en allant diner au Sandbar, un restaurant de poissons qui se trouve sous un pont avec la plus magnifique des terrasses. J'ai hésité pour les huîtres, mais ils avaient de l'omble de l'arctique. Souvenir du Nord.
Tout ça pour dire que.
On mange bien à Vancouver,
mais on mange mieux chez nous.Parce que vraiment, pas un curry ni une terrasse sur un bord de mer ne bat un repas avec tout mon monde à table. En arrivant à la maison, à travers les conversations excitées et les câlins de retrouvailles, j'ai ouvert les armoires en sachant exactement ce que je cherchais. Après une semaine de resto, la famille séparée en deux et plus grand chose dans le frigo, rien, rien au monde ne bat la bonne vieille sauce tomate (avec saucisses de veau).
Aussitôt se sentir de retour.
Chez soi.
Tous à nouveau ensemble.
Chez soi.
Tous à nouveau ensemble.
2 commentaires:
J'adore la photo, avec Blanche qui s'élance dans les bras de son grand frère. Avec des moments comme ça, on aurait envie de faire 10 enfants juste pour les voir s'aimer.
Je l'adore aussi. Croquée dans l'action. Et mets-en, juste pour ça, des tas d'autres. De voir qu'ils s'aiment = impression de mission accomplie.
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